Le Pink Paradize Festival s’offre une parenthèse poétique le temps d’un soir !

Un prénom en première partie.
GWENDOLINE.
Une chanson française plus parlée que chantée…un spoken world plein de désespoir sur une musique electro cold-wave.
Entre ciné-concert et karaoké avec les punchlines apparaissant sur un écran diffusant des scènes directement sorties des chaînes TV.

Réalité lugubre ou sarcasme ?

Ambiance de concert garage avec lumière monochrome et stroboscope.
Une énergie je-m’en-foutiste pour un groupe générationnel qui a trouvé son public.

Place maintenant à ISAAC DELUSION.
Le chanteur à la voix cristalline (Loïc Fleury) accompagnés de ses trois musiciens nous propose un moment de rêverie.

Une pop electro planante offrant des plages de saturation sonore comme des envolées légères et des mélodies aériennes.

Comme marchant sur un fil, le ciel bardé d’éclairs…

On est enfin montés une dernière fois dans la fusée pour un rappel du chanteur et guitariste en solo…une berceuse bien agréable.
Merci Isaac Delusion.

Photos © Nicolas ALLÉGUÈDE

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