Bienvenue à Calvi On The Rocks.
L’équipe de Gigsonlive a fait son baptême du feu l’an dernier sur les plages de Calvi. De quoi nous donner envie de revenir encore et encore… 15ème édition, nous voilà ! Photo, reportage : nous essaierons de partager avec vous notre festival, pas seulement au niveau des concerts qui y sont programmés mais aussi sur ses à côtés, les gens, les lieux, des anecdotes, des instants de vie.
Le récit du premier jour, vendredi 30 juin 2017, à (re)lire ici.
Sélection non-exhaustive de notre Calvi On The Rocks.
Jour 2 – Samedi 1er juillet 2017
09h58 : Ce réveil qu’on repousse encore et encore, jusqu’au sursaut du lit, vous connaissez ? Oups, il reste 2 minutes pour descendre prendre le petit déjeuner. La journée commence donc sur la terrasse de l’hôtel, le temps d’un premier débrief de la veille. Point orga de la journée : Octopussy, In The Maquis, Docks, Théâtre de Verdure. Traitement des photos du vendredi (à retrouver ici) et livraison à la com du festival, on se remet vite dans le bain !
15h34 : On arrive tant bien que mal à boucler l’article de la veille (love le réseau corse). Départ pour l’Octo où se succèderont Toilet Disco puis Marvin & Guy devant une plage de nouveau pleine à craquer. Le soleil est bel et bien revenu, reste ce vent un peu froid (#teamfrileuse) qui nous rappelle la fraîcheur de la pluie d’hier. Ça n’a pas l’air de décourager un public hyper nombreux en ce premier weekend estival !
18h28 : Les retards de vols dus à la météo sont monnaie courante à Calvi. Que celui qui n’a jamais été dérouté sur Bastia nous jette la pierre ! Aujourd’hui, c’est Pedro Winter aka Busy P – boss de Ed Banger, qui en fait les frais ! On le retrouve enfin devant le Christophe Colomb pour grimper dans un run vers le secret spot du festival. In The Maquis et sa Sparkling Pool, c’est la cerise sur le gâteau, un lieu aménagé spécialement pour Calvi On The Rocks dans la montagne corse. On s’offre le luxe d’une mission 4×4 en forme de visite guidée privilégiée avec vue sur la baie calvaise depuis les hauteurs du maquis, avant de rentrer au village.
20h46 : Ce catering est décidément délicieux.
21h23 : Descente musclée de la Citadelle, scooter ≠ pavés centenaires. Sur les Docks, le groupe Findlay est en adéquation parfaite avec l’espace Chanel #RougeCocoClub, même si leur musique n’a pas grand chose de club. On découvre plutôt un rock aux accents tantôt garage, tantôt dream pop, parfois un peu électronique. Une jolie mise en jambes avant l’arrivée de Macadam Crocodile, qui nous fait danser instantanément avec ses sonorités funky/disco/afro !
00h11 : On croise quelques copains, Inès de Rocky, Pedro qui ne quitte plus son chapeau (…). Le temps de se rappeler que Yuksek vient de démarrer son live sur le Théâtre de Verdure ! On se faufile jusque devant la scène, slalom périlleux parmi la foule très dense du soir. Là encore, on se laisse vite entraîner par les compos rehaussées de percussions et d’une batterie aux rythmes effrénés. Yuksek revisite ses morceaux que l’on redécouvre avec plaisir sur ce format inédit. Finish avec le tubesque Tonight (« c’est une pub de voiture ça, non ? ») : on en redemande, mais quand faut y aller, faut y aller. Remerciements chaleureux du DJ rémois au festival, sur lequel il est programmé pour la 10ème fois cette année !
01h20 : WhoMadeWho lancent leurs premiers accords devant un public visiblement bien moins réceptif que pour l’artiste précédent. On en profite quelques instants puis direction Les Docks, où il semblerait que les cabanes soient the place to be. Confirmation, les quelques dizaines de privilégiés qui se serrent dans chacune des deux cahutes ont l’air de passer la meilleure soirée de leur vie. À ma gauche, Jack le nouveau webzine musical de Canal+ ; à ma droite, LeBron et Panteone. Choisis ton camp mais fais le vite car la foule s’amasse devant ces mini clubs ! On bascule rapidement vers la scène Rouge Coco Club où la DJette Clara3000 envoie un gros set techno, décidément surprenante de variations tantôt très dark, tantôt très lumineuses.
03h et des poussières : Fermeture des Docks, c’est l’heure d’aller dormir voir Konstantin Sibold pour sa première sur le TDV. Et là, on se dit que la nuit va être longue tant le DJ allemand nous rosse de grosses basses et de beats bien lourds. Les festivaliers sont chauffés à blanc. Qu’on aime ou pas ce genre de musique, force est de constater qu’après une certaine heure/degré de fatigue, on danse jusqu’à n’en plus finir. C’est comme ça, c’est Calvi On The Rocks.
Extinction des feux plus tard dans la nuit, demain on remet ça. Il paraît qu’il va faire beau, chaud et qu’il n’y aura pas de vent. Vivement la suite…